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Pour la Commission Universitaire Nationale (CUN)
21 juin 2021

POUR LA COMMISSION UNIVERSITAIRE NATIONALE : LES ENCADREMENTS EN POST-GRADUATION, ASSURES PAR Mme CHIKH (UDL).

21 juin 2021.

Criminelles directions de travaux en post-graduation.

……………………

Sommaire de l’écrit précédent.

I- Doctorat obtenu au prix de huit massacres (ou crimes) académiques.

II- Nullité d’une Habilitation obtenue suite au criminel Doctorat décrit ci-dessus.

III- L’incontestable illégalité du Doctorat et de l’Habilitation de Mme CHIKH, abstraction totalement faite de tous les massacres ci-dessus.

…………………………

IV-Psychopédagogue criminellement diplômée, ayant dirigé une magistrante en Sociologie culturelle[1].

§11. Le comble de l’immoralité, aussi, pour accéder au PROFESSORAT.

Ne se contentant pas d’avoir obtenu un doctorat et une habilitation dont l’annulation serait une action hautement salvatrice pour l’Université algérienne, Mme CHIKH s’attelle, dès le grade de MCA en poche, à atteindre le Professorat dans les plus brefs délais. Ceci étant, et vu que l’UDL n’avait aucune post-graduation dans sa filière, ni dans la filière voisine qu’est la Psychologie, elle  s’active jusqu’à obtenir la direction d’une magistrante dans une spécialité, la sociologie culturelle, relevant d’une tout autre filière.

Vu que le thème traité est lié au domaine de l’éducation, je me serais tue sur cette histoire si elle ne confirmait pas, à son tour, l’incompétence/inconscience de Mme CHIKH. En effet, dans ce mémoire, des énoncés centraux y sont défendus avec une superficialité et une incohérence qu’aucun encadreur digne de ce nom n’aurait laissé passer. J’ajoute ceci : heureusement que ce mémoire a d’abord été dirigé par un Collègue beaucoup plus compétent et que notre impudique incompétente n’a fait qu’en prendre la relève.

...................................

IV- THèse de Doctorat en Philosophie, dirigée par une pure analphabète en Philosophie.

§12. Une pure illégalité, avant tout.

Mme CHIKH étant docteure habilitée en psychopédagogie et absolument pas en philosophie, lui avoir offert de diriger un doctorant dans cette filière est une violation de normes juridiques exigées par notre propre Ministère de tutelle.

§II. Le dernier cirque en préparation à l’UDL.

Mme CHIKH s’apprête à faire soutenir un doctorant dont elle a dirigé la thèse, et ce, dans une filière (philosophie) où: 

II.1. Elle ne possède pas le plus modeste diplôme.

II.2. Elle n’a jamais effectué la plus minuscule publication.

II.3. Elle n’a jamais assuré nul cours, ni corrigé nulle copie d’examen, ni évalué nul exposé.

II.4. Elle n’a ni encadré nul mémoire, ni été membre de nul jury de soutenance.

II.5. Elle n’a suivi nulle formation

(Sauf si un lycéen ayant terminé sa 3° AS peut diriger un Doctorant en Philo).

§III. Explication par le comble de l’immoralité.

Elle a demandé ces deux directions en tant que cadeau pour avancer dans la carrière et atteindre le Professorat dans les plus brefs délais[2]. Et ce, au mépris le plus total de la qualité de la formation et des post-graduant concernés. Ayant été très  proche de la 3ISSABA propre à l’UDL, elle a réussi (dès l’habilitation obtenue) à obtenir de diriger, donc, une magistrante et un doctorant  dans des filières à la fois différentes (l’une de l’autre) et qui lui sont étrangères. De la sorte, elle contournait le fait que l’UDL ne possédait de formation ni en magister ni en doctorat dans aucune spécialité de sa filière[3].

 F. Tlemsani.


[1] Le mémoire en question a déjà été soutenu.

[2] Et elle aurait aimé que son doctorant soit prêt à soutenir plus tôt.

[3] La 1° formation post-graduée en Sces de l’Education ne s’est entamée qu’en 2021 à l’UDL.

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