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Pour la Commission Universitaire Nationale (CUN)
22 juin 2021

Mme CHIKH, la MCA DONT LA DIRECTION DE SIMPLES MEMOIRES PROUVE L’EFFARANTE INCOMPETENCE: A LA COMMISSION UNIVERSITAIRE NATIONALE

Le 22 juin 2021.

 

VI- Le comble du Drame : introduction à VII et VIII.

§15. Drame sur drame.

Plusieurs années après avoir obtenu son doctorat et son habilitation, des années après avoir fait soutenir un magister dans une filière qui lui est étrangère, et alors qu’elle est en passe de faire soutenir une Thèse de doctorat relevant d’une 3e filière, Mme F. CHIKH continue à être incapable de diriger, autrement qu’avec une criminelle incompétence, des mémoires de master relevant de sa propre spécialité ou d’une spécialité qu’elle a enseignée durant presque vingt ans.

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VII. Auteure de scandaleuses directions de mémoires de Master.

§16. Mme CHIKH, celle pour qui le pur insoutenable est absolument soutenable.

En fin juin 2020, la collègue Mme Nassima REMMAS a déposé un rapport démolissant un mémoire dirigé par notre effarante Dame. Elle le démolit sur le plan du contenu ainsi que sur celui de la méthodologie. Ainsi, ce mémoire était clairement insoutenable, et le pire est que Mme REMMAS n’a pu rédiger ce rapport qu’après que Mme CHIKH l’a jugé : Absolument soutenable. Quant à l’étudiant concerné, il est moins coupable que victime de l’incompétente Mme CHIKH.

§17. Mme CHIKH confirmant, elle-même, son incompétence.

Mme CHIKH remet à son étudiant le rapport. Ensuite, dès qu’elle la reçoit, c’est-à-dire sans même la consulter, elle transmet[1] la nouvelle version du mémoire à Mme REMMAS. Ainsi, elle confirme, elle-même, sa propre incompétence à saisir le sens des critiques de Mme REMMAS : incompétente pour voir si la nouvelle version répond ou non au rapport de celle-ci.

§18. Ignoble réaction de l’hyper-incompétente Mme CHIKH.

Comme Mme REMMAS a maintenu l’Insoutenabilité, Mme CHIKH n’arien trouvé de mieux à faire que de rédiger l’une des plus honteuses pétitions qu’on puisse imaginer à l’Université : Pétition pour supprimer les rapports de soutenabilité et continuer à faire soutenir des mémoires nuls et à leur distribuer des 16 et des 17/20. Pétition, surtout, pour continuer à cacher l’incompétence de Mme CHIKH et de ses semblables.

[Au lieu de cette autre impudeur, Mme CHIKH aurait dû baisser la tête et chercher à se faire aider par plus compétent qu’elle, pour sortir de ce bourbier : Se faire aider pour reprendre cet encadrement à zéro, tout en espérant que Mme REMMAS ait la générosité de taire l’affaire.]

§19. De carnaval en carnaval

Cette honteuse pétition[2] ayant eu trop peu de signatures, on a trouvé une autre solution pour contrer le très digne rapport de Mme REMMAS : On a ajouté un nouveau membre dans le Jury correspondant. Et de surcroit, on s’est permis de le faire sans même saisir le Chef du Département, lequel est (selon la réglementation en vigueur) partie prenante dans la constitution de ces jurys de soutenance. On a ainsi agi car on voulait isoler ce responsable, et on voulait l’isoler car on considère qu’il est « du clan de Mme Tlemsani ». Je tiens à rectifier : Contrairement au Doyen et à certains autres responsables, Mr Abdennour SEDDIKI est un partisan de la qualité de la formation.

§20. Enfin, la burlesque suppression de la mention ‘INSOUTENABLE’.

Enfin, en fin septembre 2020, le Doyen et le Vice-doyen de la pédagogie sont directement entrés en scène. C’est alors un autre cirque, fait de réunion et de contre-réunion, et conclu par la suppression de la mention ‘INSOUTENABLE’ sur les imprimés portant rapports de soutenabilité. Une suppression qui, sans exiger d’être commentée, se montre burlesque, une simple Mahzala parmi tant d’autres.

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VIII- Quand la simple direction d’une mastérisante prouve que l’incompétence de Mme CHIKH frôle la déficience intellectuelle.

§21. Précision initiale.

Je suis arrivée à l’UDL en 2013-2014 et je n’ai pas tardé à découvrir l’incompétence de cette Dame. Seulement, elle donnait l’air de ce qu’on appelle « HCHICHA TALBA M3ICHA », et elle m’a même laissé croire qu’elle possédait une certaine honnêteté, dont un minimum de conscience professionnelle.

Des faits survenus en février 2020[3] ont, toutefois, fini par dévoiler son vrai visage. D’autre  part, une introduction des rapports de soutenabilité pour le master (2020) a montré comment son incompétence est poussée jusqu’au seuil de la déficience intellectuelle.

§22. Deux mémoires dans lesquels Mme CHIKH a donné le meilleur d’elle-même.

En 2020, j’ai été dans deux jurys de mémoire de master dirigés par cette criminelle académique. Dans les deux, cette dernière a donné le meilleur d’elle-même vu qu’en plus de connaitre les compétences de Mme KHETIB, l’autre membre des deux jurys, elle craignait très fort des rapports négatifs (‘Insoutenable’) de ma part. Ce n’est pas par hasard qu’elle ne les a jugés soutenables (cad : qu’elle ne nous les a envoyés) qu’en octobre, elle qui voulait (malgré un semestre ruiné par la Covid19) ; tout finir en juin. Mieux encore, elle ne nous les a transmis qu’après s’être assurée de la burlesque suppression de la mention ‘’INSOUTENABLE’’.

§23. Au seuil de la déficience intellectuelle : l’insoutenable devenu brillantissime.

Pour ne pas trop allonger le présent rapport[4], je ne vais traiter que d’un seul de ces deux mémoires. Pour des raisons évidentes, je vais choisir celui à propos duquel Mme CHIKH a fait beaucoup plus qu’être fière (en tant qu’encadreur) de ses plus que 200 pages. Celui dont elle a déclaré qu’il constitue un véritable apport à la science, en écrivant qu’il possède du « Poids dans la science et la connaissance ».

J’avis prévu une publication exclusivement consacrée à ce mémoire qui a fait croire à Mme CHIKH qu’elle a dirigé une production scientifique qui allait faire date dans l’histoire de la psychopédagogie. Ne l’ayant pas fait, pour ne pas gêner l’étudiante concernée[5], je me contente du résumé qui suit :

1) Il n’y a que deux explications possibles au fait qu’un encadreur –qui, plus est, se juge mériter le haut grade de Professeur- puisse tirer fierté des plus de 200 pages atteintes par un mémoire de master et, en même temps, y trouver un véritable apport à la science : Soit l’étudiant est un génie, soit ledit encadreur est d’une incompétence académique qui, dans le moins grave des cas, ne fait que frôler la déficience intellectuelle.

2) Or, l’étudiant en question, alors qu’il achèvait sa 5e année universitaire, n’a jamais laissé ressortir le moindre signe qui exprimerait du Génie.

3) Si on veut respecter un minimum de normes en matière de qualité des diplômes que nous délivrons, alors ce mémoire est, purement et simplement, INSOUTENABLE.

4) Quant aux plus de 200 pages, elles sont exténuantes à lire.

§24. Dramatique Mme CHIKH : Mémoire insoutenable rédigé par une étudiante comptant parmi les meilleures de sa promotion.

L’étudiante en question n’a jamais laissé voir un quelconque signe de génie, mais elle compte parmi les meilleurs étudiants de sa promotion. Donc, elle était bien placée pour faire un bon mémoire, voire très bon. A mon grand regret, elle nous a présenté un mémoire qui, avec une sérieuse évaluation, est INSOUTENABLE. Qui est responsable de ce gâchis ? Mme Fatiha CHIKH et sa vertigineuse incompétence, incontestablement.

§25. Mon 12/20, par pitié pour Mme CHIKH.

J’ai donné un 12/20 alors que ma conscience au sens strict m’imposait d’opposer ‘Insoutenable’ quitte à lancer une bataille[6], aussi, contre le cirque par lequel on a fait retirer la mention ‘INSOUTENABLE’ des imprimés servant aux rapports de soutenabilité. Nous étions en octobre et j’ai donné ce 12/20 au lieu de l’Insoutenabilité, par pitié pour Mme CHIKH, pour ne pas ajouter à la honteuse situation qu’elle vivait depuis juin : depuis le massacrant rapport d’insoutenabilité de Mme REMMAS (Partie VII ci-dessus).

§26. Mon 12/20, pour sauver l’étudiante.

J’ai donné 12/20 au lieu d’opposer ‘Insoutenable’ car : 1) nous étions en octobre, 2) le mémoire allait devoir être revu de fond en comble, 3) l’incompétente Mme CHIKH n’allait rien pouvoir faire afin d’aider son étudiante. En somme, celle-ci, alors qu’elle est une bonne étudiante, aurait largement dépassé le délai de soutenance, et, par conséquent, aurait perdu une année. D’autre part, elle aurait raté tous les concours de doctorat de 2020-2021.

§27. L’effarante ingratitude de Mme CHIKH.

Jugeant que cet insoutenable mémoire mérite un strict minimum[7] de 17/20, voici comment elle me remercie : elle m’attaque par un courrier qu’elle adresse à la présidente du jury. Ensuite, elle poursuit son attaque par un courrier qu’elle envoi à la direction. Elle va jusqu’à prier Allah afin qu’il me punisse pour le mal que je suis censée avoir fait à l’étudiante (et implicitement, surtout à celle qui l’a dirigée). Enfin, elle est allée jusqu’à remonter l’étudiante contre moi[8].

§28. Le seul petit heureux évènement.

Après que j’ai dénoncé (et par écrits publiés) cette vertigineuse et si couteuse incompétence, Mme CHIKH s’est retirée de l’encadrement en Psychologie clinique (après près de vingt ans de massacres). Elle ne pouvait absolument pas le faire en Psychopédagogie, puisque l’acte contraire aurait été un scandaleux aveu de sa part et un aveu destructeur pour toute sa carrière  [ici, elle est docteure habilitée].

F. Tlemsani

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Sommaire des deux écrits précédents.

I- Doctorat obtenu au prix de huit massacres (ou crimes) académiques.

II- Nullité d’une Habilitation obtenue suite au criminel Doctorat décrit ci-dessus.

III- L’incontestable illégalité du Doctorat et de l’Habilitation de Mme CHIKH, abstraction totalement faite de tous les massacres ci-dessus.

(http://aupresidentdz.canalblog.com/archives/2021/06/20/39022726.html)

IV-Psychopédagogue criminellement diplômée, ayant dirigé une magistrante en Sociologie culturelle.

V- Thèse de doctorat en philosophie dirigée par une analphabète en philosophie.

 (http://aupresidentdz.canalblog.com/archives/2021/06/21/39025154.html)



[1][1] Les dates ( à la minute près) mentionnées sur le courriel le prouvent.

[2] Devinant parfaitement ma réaction, le clan de cette pétition ne me l’a jamais fait parvenir.

[3] Une bataille que j’ai (officiellement !) lancée lors d’une réunion du CSF (27 févier 2020), contre une criminelle mascarade déguisée en formation doctorale. Mme CHIKH s’est sentie visée, et ce, d’abord au vu de sa vertigineuse incompétence [et du grand soutien (communauté d’intérêt) qu’elle trouve auprès du clan que j’ai  attaqué]. Ensuite et surtout, il y a eu la publication par laquelle j’ai demandé l’annulation d’un doctorat qui ressemble, très fort, au sien.

[4] D’autant plus que le présent écrit n’en est que la 1° partie.

[5] D’autant plus qu’il s’agissait d’une bonne étudiante.

[6] Bataille qui aurait été toute petite, en comparaison avec celle (plurielle) que je mène présentement.

[7]  Mme CHIKH n’a pas donné plus de 17/20, car cette note a fini par être été fixée comme maximum, après plusieurs années durant lesquelles on a distribué les 18/20, et on est allé jusqu’à 19/20, à des mémoires qui, souvent, étaient à peine moyens.

[8] La  Président du Jury n’a jamais donné 17/20 à ce si triste et si exténuant mémoire.  Etonnée par l’effarant 17/20 donné par Mme CHIKH, elle s’est abstenue de donner la moindre note. Mme CHIKH en a profité pour (dans le calcul de la note finale) faire comme si la Présidente a donné 17/20 (note maximale autorisée). Elle en a profité d’autant plus qu’il n’y a eu aucune soutenance (vu le confinement).

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